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Non. Le Groupe des services juridiques ne fournit pas d’assistance ou de conseils individuels au personnel de l’UNOPS en ce qui concerne leurs griefs ou litiges contre l’organisation, y compris ceux liés à une enquête ou à une procédure disciplinaire. 

Si vous êtes membre du personnel, vous pouvez contacter le Bureau de l’aide juridique au personnel des Nations Unies pour demander des conseils et une assistance juridiques dans le cadre de votre affaire (adresse électronique : osla@un.org). Si vous êtes un·e prestataire individuel·le, vous pouvez également envisager de contacter le Bureau de l’aide juridique au personnel, veuillez noter que c’est le Bureau qui décide d’apporter ou non une aide. Les membres du personnel de l’UNOPS peuvent souhaiter obtenir des conseils juridiques auprès d’un avocat privé à leurs propres frais. 

Vous pouvez également envisager de contacter le Bureau de l’Ombudsman chargé des fonds et programmes des Nations Unies pour discuter de votre litige. L’Ombudsman offre des services de médiation confidentiels et impartiaux, indépendamment de l’administration des Nations Unies, et constitue souvent la voie de résolution informelle pour les fonctionnaires et non-fonctionnaires afin de résoudre les litiges sur le lieu de travail dans le but de maintenir un environnement de travail harmonieux. Il ne défend aucune partie dans un litige. (Adresse électronique : ombudsmediation@fpombudsman.org)

Non. Les États Membres ayant convenu que les tribunaux nationaux n’étaient pas habilités à statuer sur les litiges impliquant les Nations Unies (conformément à la Convention de 1946 sur les privilèges et immunités des Nations unies), les membres du personnel ne sont pas en mesure de saisir les tribunaux nationaux dans le cadre de leur litige sur le lieu de travail. Par conséquent, l’ONU (y compris l’UNOPS) a mis en place un système de justice interne afin de fournir à son personnel un mode de substitution au règlement des conflits sur le lieu de travail. En savoir plus sur le système de justice interne des Nations Unies.

Vous pouvez tenter de régler votre conflit de travail à l’UNOPS de deux manières principales : de manière informelle et de manière formelle. Vous pouvez faire les deux simultanément, mais l’UNOPS encourage son personnel à essayer de résoudre les litiges par des moyens informels (négociation et médiation), avant de recourir à une procédure judiciaire formelle.

À tout moment de la procédure de résolution formelle, le ou la membre du personnel et le ou la décideur·euse peuvent tenter de résoudre le litige de manière informelle, avec ou sans l’aide d’une tierce partie.

La résolution formelle de votre comprend plusieurs étapes, qui sont soumises à des délais stricts. Les membres du personnel de l’UNOPS qui désirent avoir recours à la procédure formelle devraient savoir, avant de s’engager dans cette voie, quelles sont les étapes à suivre et dans quel ordre, et quels sont les délais à respecter pour chaque étape. 

Une demande de contrôle hiérarchique est généralement la première étape formelle. Si vous n’êtes pas satisfait·e du résultat du contrôle hiérarchique, vous pouvez prendre d’autres mesures pour faire appel officiellement de la décision contestée. Les étapes diffèrent selon que vous êtes un·e membre du personnel ou un·e prestataire individuel·le. 

Si vous êtes membre du personnel, la prochaine étape consistera à déposer une demande auprès du Tribunal du contentieux administratif des Nations Unies (TCNU). Pour en savoir plus sur le TCNU, y compris quels formulaires remplir et comment déposer une requête, veuillez vous rendre sur le site Web du Tribunal.  

En tant que prestataire individuel·le, vous pouvez engager une procédure d’arbitrage contre l’UNOPS conformément aux conditions de votre contrat de prestataire individuel (veuillez consulter l’annexe A de votre contrat qui comprend une clause sur l’arbitrage).  

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Une décision administrative comprend trois éléments principaux : 

  1. Elle est prise par l’administration de l’UNOPS (c’est-à-dire la personne autorisée à prendre la décision) ; 
  2. Elle est unilatérale et s’applique à vous seul ; et 
  3. Elle entraîne des conséquences juridiques directes et négatives pour vous.  

Les décisions administratives les plus courantes sont la non-sélection dans le cadre d’un processus de recrutement, le non-renouvellement d’un contrat, l’octroi ou le refus de certains avantages et droits, et l’adoption d’une mesure disciplinaire telle que le licenciement, la résiliation d’un contrat, la rétrogradation et le blâme écrit. 

Une demande de contrôle hiérarchique est généralement la première étape formelle que vous pouvez entreprendre pour contester une décision administrative qui vous concerne. Le champ d’application du contrôle hiérarchique s’étend à l’évaluation de la décision administrative contestée par rapport aux conditions contractuelles du membre du personnel ou du titulaire du contrat de prestataire individuel, y compris tous les règlements, règles et documents administratifs pertinents.

Une demande de contrôle hiérarchique n’est pas nécessaire si la décision administrative contestée a) implique l’imposition d’une mesure disciplinaire ou non disciplinaire à l’issue d’une procédure disciplinaire, ou b) a été prise sur la base de l’avis d’organismes techniques (comme le comité consultatif pour les demandes d’indemnisation ou un comité médical). Ces décisions peuvent faire l’objet d’un appel direct auprès du TCNU (personnel) ou d’un tribunal d’arbitrage.

À l’UNOPS, le contrôle hiérarchique est effectué par le Directeur exécutif ou la Directive exécutive avec l’aide de l’équipe du droit administratif du Groupe des services juridiques de l’UNOPS. Un examen objectif et indépendant de la décision contestée est effectué par les conseillers et conseillères juridiques de l’UNOPS (qui n’ont pas participé au processus décisionnel) et une recommandation est fournie au Directeur exécutif ou à la Directrice exécutive. Le Directeur exécutif ou la Directrice exécutive décide alors si la décision administrative contestée a été prise conformément au cadre réglementaire de l’UNOPS. Si la décision est jugée illégale, le ou la membre du personnel se verra offrir une solution, qui pourrait inclure la modification de la décision. Si la décision est jugée légale, le ou la membre du personnel recevra une explication contenant les raisons pour lesquelles elle a été jugée légale.  

Les questions soulevées par le biais d’une demande de contrôle hiérarchique peuvent également être clôturées de manière informelle (le cas échéant) sous les auspices du Bureau de l’Ombudsman chargé des fonds et programmes des Nations Unies, ou en facilitant un règlement entre le ou la membre du personnel concerné·e et l’organe décisionnel.

Pour demander un contrôle hiérarchique de la décision que vous contestez, veuillez envoyer le formulaire de demande de contrôle hiérarchique dûment rempli à aoj.notices@unops.org.

Oui. Vous devez déposer une demande de contrôle hiérarchique dans un délai de 60 jours civils à compter de la date à laquelle vous avez informé·e de la décision administrative que vous souhaitez contester. Dès réception de votre demande, l’équipe du droit administratif est censée vous fournir une réponse écrite dans les délais suivants :

  • 30 jours civils à compter de la réception de la demande de contrôle hiérarchique si vous êtes en poste à New York ; ou
  • 45 jours civils à compter de la réception de la demande de contrôle hiérarchique si vous êtes en poste en dehors de New York.

Oui. Si vous êtes fonctionnaire de l’UNOPS et que vous êtes en désaccord avec le résultat du processus de contrôle hiérarchique, vous pouvez déposer une requête (soit une demande formelle d’examen judiciaire de la décision administrative contestée) auprès du Tribunal du contentieux administratif des Nations Unies (TCNU), qui est une juridiction indépendante.  Pour en savoir plus sur le TCNU, y compris quels formulaires remplir et comment déposer une requête, veuillez vous rendre sur le site Web du Tribunal.  Veuillez prêter attention aux délais importants pour l’envoi d’une demande auprès du TCNU. 

Si, en tant que prestataire individuel·le de l’UNOPS, vous êtes en désaccord avec le résultat du processus de contrôle hiérarchique, vous pouvez engager une procédure d’arbitrage contre l’UNOPS conformément aux conditions de votre contrat de prestataire individuel (veuillez consulter l’annexe A de votre contrat qui comprend une clause sur l’arbitrage). Veuillez consulter votre contrat pour connaître les délais importants pour lancer une procédure d’arbitrage.  

Veuillez également noter que la résolution informelle des litiges peut intervenir avant ou pendant la procédure d’appel susmentionnée, que vous soyez un·e prestataire individuel·le ou un·e membre du personnel. 

Le Groupe des services juridiques n’est pas le décideur final dans une procédure disciplinaire. En vertu du cadre juridique de l’UNOPS, cette autorité relève exclusivement du Directeur Exécutif ou de la Directrice exécutive. Le rôle principal du Groupe des services juridiques est d’entreprendre une évaluation juridique des preuves, de décider s’il y a lieu de lancer une procédure disciplinaire et de gérer cette procédure disciplinaire qui comprendra l’envoi d’une lettre d’inculpation à la personne concernée et la possibilité pour elle de répondre aux accusations. 

À la fin de ce processus, le Groupe des services juridiques soumettra une recommandation au Directeur exécutif ou à la Directrice exécutive quant à la question de savoir si les preuves établissent légalement qu’une mauvaise conduite a eu lieu et, dans l’affirmative, quelles sont les mesures disciplinaires et/ou administratives appropriées, sur la base d’une série de facteurs standard, tels que la nature et la gravité de la mauvaise conduite, les facteurs aggravants et atténuants, la jurisprudence et les précédents pertinents.

Tous les éléments de preuve pertinents seront pris en considération, y compris toute réponse fournie par la personne accusée de mauvaise conduite au cours de la procédure disciplinaire. L’UNOPS décide ensuite i) des faits établis à partir des preuves, et ii) si les faits établis constituent légalement un cas de mauvaise conduite. Dans le cadre du point ii), nous examinons si le niveau de preuve applicable a été respecté :  

  • Preuves claires et convaincantes : il s’agit du niveau de preuve standard pour les cas où la résiliation, la séparation ou le licenciement est une issue possible. Ce niveau de preuve exige plus qu’une prépondérance de la preuve, mais moins qu’une preuve au-delà de tout doute raisonnable. Cela signifie que la véracité des faits affirmés est hautement probable. 
  • Prépondérance de la preuve : il s’agit du niveau de preuve standard pour tous les autres types d’affaires. Il suppose qu’il est plus probable qu’improbable que les faits et circonstances à l’origine de la mauvaise conduite existent ou se soient produits.

Le droit à une procédure régulière est lié au concept d’équité. Avant qu’un·e membre du personnel soit sanctionné·e pour mauvaise conduite, il ou elle a la possibilité de répondre aux allégations formulées dans une lettre d’inculpation, qui contient des preuves et des informations pertinentes sur les allégations pour aider le ou la membre du personnel à fournir une réponse éclairée. Toute réponse reçue est dûment examinée par l’organisation avant qu’une décision soit prise et, le cas échéant, qu’une sanction appropriée soit prononcée selon les circonstances. Les étapes d’une procédure régulière sont incluses dans les procédures d’enquête et les procédures disciplinaires de l’UNOPS. Vous pouvez en savoir plus sur ces procédures en consultant l’Instruction opérationnelle « Procédures d’enquête et mesures disciplinaires dans le cadre d’allégations de mauvaise conduite visant des membres du personnel de l’UNOPS ».  

L’Instruction opérationnelle portant sur le cadre de gestion du personnel fournit une liste non exhaustive de ce que l’UNOPS considère comme une mauvaise conduite. La mauvaise conduite peut inclure notamment les actions énumérées ci-dessous, qu’elles soient commises de manière délibérée, par imprudence ou par lourde négligence. Un travail insatisfaisant, lorsqu’il n’atteint pas le niveau de la négligence grave ou de l’imprudence, ne constitue pas une mauvaise conduite ; par conséquent, il doit être traité dans le cadre des procédures d’évaluation de la performance. Les points suivants constituent des cas possibles de mauvaise conduite (liste non exhaustive) :

  • Actes illicites (par exemple vol, fraude, trafic, possession ou vente de substances ou d’objets illégaux) ;
  • Agression, harcèlement sur le lieu de travail, y compris le harcèlement sexuel, ou des menaces contre d’autres membres du personnel ou de tiers ;
  • Exploitation et atteintes sexuelles ;
  • Fausse déclaration, falsification de documents ;
  • Utilisation abusive ou mauvaise utilisation de biens, d’actifs, d’équipements ou de fichiers officiels, notamment de fichiers ou de données électroniques ;
  • Action ou omission visant à éviter ou à s’écarter des règlements financiers et des règles et procédures de gestion financière ;
  • Mauvaise gestion des obligations contractuelles et des relations avec les tiers entraînant la perte de biens ou d’actifs, ou générant des responsabilités pour l’organisation ;
  • Non-divulgation d’un intérêt ou d’une relation avec un tiers susceptible de bénéficier d’une décision à laquelle le personnel participe, favoritisme dans l’attribution d’un contrat à un tiers ;
  • Manquement aux obligations fiduciaires vis-à-vis de l’organisation ;
  • Abus de fonction ou abus de pouvoir ; 
  • Non-respect de la confidentialité ;
  • Abus des privilèges et immunités des Nations Unies, notamment l’utilisation abusive du laissez-passer des Nations Unies (le cas échéant) ;
  • Exaction ou acceptation de fonds d’un·e collègue ou d’un tiers en échange d’une faveur ou d’un avantage ;
  • Absence de divulgation rapide de dons, rémunérations ou autres avantages reçus d’une source extérieure par le personnel dans le cadre de ses fonctions officielles ;
  • Mesures de représailles contre un·e plaignant·e ou un·e participant·e à une enquête, ou toute autre action en violation du Cadre législatif de l’UNOPS ;
  • Formulation de fausses accusations et divulgation de fausses rumeurs ;
  • Utilisation directe ou indirecte, ou tentative d’utilisation, de l’autorité officielle ou de l’influence du poste ou de la fonction du personnel dans le but d’empêcher une personne de signaler des actes répréhensibles présumés ou de coopérer à un audit ou à une enquête ;
  • Action ou omission susceptible d’affecter la réputation de l’organisation, sauf s’il s’agit de signaler de bonne foi des soupçons d’actes répréhensibles conformément à l’Instruction opérationnelle OI.PCG.2023.01  ;
  • Aide, complicité, dissimulation ou conspiration dans le cadre de l’une des actions susmentionnées ; et
  • Tentative de comportement qui, s’il était couronné de succès, constituerait une mauvaise conduite.

Dans tous les cas de mauvaise conduite qui ont été corroborés par le Groupe de l’audit interne et des enquêtes (tous les cas présumés de mauvaise conduite sauf les représailles) ou par le Bureau de la déontologie (les cas liés à des représailles), le Groupe des services juridiques procède à un examen approfondi des éléments de preuve afin de déterminer s’il convient d’engager une procédure disciplinaire dans cette affaire. 

Si les preuves indiquent que le ou la membre du personnel a commis un acte de mauvaise conduite, le Groupe des services juridiques entame la procédure disciplinaire en lui envoyant une lettre d’inculpation confidentielle présentant les éléments de preuve pertinents et les inculpations spécifiques. Le ou la membre du personnel a alors la possibilité d’y répondre, et sa réponse est examinée avec soin et en toute confidentialité par le Groupe des services juridiques, qui s’assure du respect de la procédure régulière. 

Une fois la réponse examinée, le conseiller ou la conseillère juridique soumet une recommandation au Directeur exécutif ou à la Directive exécutive quant à la question de savoir si les preuves établissent légalement qu’une mauvaise conduite a eu lieu et, dans l’affirmative, quelles sont les mesures disciplinaires et/ou administratives appropriées, sur la base d’une série de facteurs standard, tels que la nature et la gravité de la mauvaise conduite, les facteurs aggravants et atténuants, la jurisprudence et les précédents pertinents. Le Directeur exécutif ou la Directrice exécutive prend alors une décision. 

Les sanctions généralement imposées pour différents types de mauvaise conduite à l’UNOPS sont disponibles dans les rapports annuels sur les cas de mauvaise conduite (consulter les rapports disponibles), qui fournissent également une transparence et des informations précieuses sur la manière dont l’organisation traite les questions disciplinaires.

Conformément à la disposition 10.2 a) du Règlement du personnel, les membres du personnel reconnu·e·s coupables d’un acte de mauvaise conduite se voient imposer une ou plusieurs des sanctions suivantes : 

  • Blâme écrit ; 
  • Perte d’un ou plusieurs échelons de classe ; 
  • Suspension, pendant une période déterminée, du droit à toutes augmentations de traitement ; 
  • Suspension sans traitement pendant une période déterminée ; 
  • Amende ; 
  • Suspension sans traitement pendant une période déterminée ;
  • Rétrogradation avec suspension, pendant une période déterminée, de la faculté de prétendre à une promotion ; 
  • Cessation de service, avec préavis ou indemnité en tenant lieu, et avec ou sans indemnité de licenciement en application du paragraphe c) de l’annexe III du Statut du personnel ; ou
  • Renvoi.

Pour déterminer la ou les sanctions à imposer parmi celles citées précédemment, plusieurs facteurs standard sont pris en compte, tels que la nature et la gravité de la mauvaise conduite, les facteurs aggravants et atténuants, la jurisprudence et les précédents pertinents.  Les sanctions généralement imposées pour différents types de mauvaise conduite à l’UNOPS sont disponibles dans les rapports annuels sur les cas de mauvaise conduite (consulter les rapports disponibles), qui fournissent également une transparence et des informations précieuses sur la manière dont l’organisation traite les questions disciplinaires.


En fonction de la nature et de la gravité de la mauvaise conduite et/ou du non-respect de leur accord contractuel avec l’UNOPS, les prestataires individuel·le·s reconnu·e·s coupables d’un acte de mauvaise conduite se voient imposer une ou plusieurs des sanctions suivantes : 

  • Recouvrement de sommes dues à l’organisation ; 
  • Recouvrement de tout préjudice financier attribuable à la mauvaise conduite du ou de la membre du personnel (par exemple, fraude, vol), à sa négligence grave ou à son imprudence dans la gestion des fonds ; 
  • Blâme écrit ; 
  • Suspension sans traitement pendant une période déterminée ;
  • Réduction du niveau et/ou du sous-niveau ; ou
  • Résiliation du contrat.

Pour déterminer la ou les sanctions à imposer parmi celles citées précédemment, plusieurs facteurs standard sont pris en compte, tels que la nature et la gravité de la mauvaise conduite, les facteurs aggravants et atténuants, la jurisprudence et les précédents pertinents.  Les sanctions généralement imposées pour différents types de mauvaise conduite à l’UNOPS sont disponibles dans les rapports annuels sur les cas de mauvaise conduite (consulter les rapports disponibles), qui fournissent également une transparence et des informations précieuses sur la manière dont l’organisation traite les questions disciplinaires.

Non. Vous pouvez toutefois connaître le résultat de l’examen ou de l’enquête concernant votre signalement, notamment savoir s'il a été confirmé ou non.

La durée de la procédure disciplinaire varie en fonction de la complexité de l’affaire, de la quantité et du type de preuves disponibles, analysées à la lumière des niveaux de preuve établis par le Tribunal du contentieux administratif des Nations Unies et le Tribunal d’appel des Nations Unies, et des clarifications complémentaires qui peuvent être nécessaires pour les personnes enquêtant sur l’affaire après le transfert de cette dernière au Groupe des services juridiques.

Le congé administratif est une mesure provisoire par laquelle une personne faisant l’objet d’une allégation de mauvaise conduite est temporairement mise en congé, avec ou sans traitement, par le conseiller ou la conseillère juridique de l’UNOPS. Le placement en congé administratif peut intervenir à tout moment à partir du moment où un cas présumé de mauvaise conduite est signalé ou détecté jusqu’à la fin de la procédure disciplinaire/administrative. La mise en congé administratif ne porte pas atteinte aux droits du ou de la membre du personnel et ne constitue pas une mesure disciplinaire. En règle générale, un congé administratif peut être envisagé dans les cas suivants :

●       Le comportement en question ou la présence continue du ou de la membre du personnel dans les locaux des Nations Unies pose ou peut poser un risque pour la sécurité, ou représenter une menace pour les autres membres du personnel des Nations Unies ou pour l’intérêt supérieur de l’Organisation ;

●       Le ou la membre du personnel n’est pas en mesure de continuer à exercer ses fonctions de manière efficace, compte tenu de l’enquête ou de la procédure en cours et de la nature de ses fonctions ;

●       L’allégation, si elle est avérée, signifierait que la personne faisant l’objet de l’allégation a utilisé son poste à l’UNOPS pour commettre un acte de mauvaise conduite ; et/ou

●       Il existe un risque de falsification ou de dissimulation d’éléments de preuve, ou d’interférence avec la procédure.

Pendant son congé administratif, chaque membre du personnel de l’UNOPS est tenu·e d’effectuer les tâches suivantes :

●       obtenir l’autorisation écrite de son ou sa supérieur·e hiérarchique s’il ou elle souhaite pénétrer dans les locaux de l’organisation pendant la période de congé administratif : cette autorisation peut être accordée si elle est nécessaire à la préparation de la défense du personnel ou pour toute autre raison valable, et cette entrée doit se faire sous escorte ;  

●       rester disponible pour être contacté·e par l’UNOPS en fournissant des informations, notamment des coordonnées en cas de résidence en dehors du lieu d’affectation ;

●       rester disponible aux fins de l’enquête ou de toute procédure disciplinaire/administrative ultérieure ; et

●       demander au Directeur ou à la Directrice du Groupe de gestion du personnel et de la culture organisationnelle (par l’intermédiaire du Bureau de la déontologie) l’autorisation d’exercer toute activité externe pendant son congé administratif.

Pour en savoir plus sur le congé administratif, consultez l’Instruction opérationnelle de l’UNOPS intitulée « Procédures d’enquête et mesures disciplinaires dans le cadre d’allégations de mauvaise conduite visant des membres du personnel de l’UNOPS ».

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Les éléments contenus sur cette page sont publiés uniquement à titre informatif et reflètent les informations les plus exactes disponibles au moment de leur publication. Cependant, ces éléments ne modifient pas, ne remplacent pas et n'annulent pas le cadre juridique applicable défini, entre autres, dans la Charte des Nations Unies, la Convention sur les privilèges et immunités des Nations Unies, le Statut et le Règlement du personnel de l’Organisation des Nations Unies, les documents administratifs pertinents et tout accord contractuel spécifique en vigueur. Les membres du personnel de l'UNOPS ne doivent donc pas s’appuyer sur les informations résumées dans le portail, car celui-ci n'est pas destiné à faire autorité. Au lieu de cela, les membres du personnel doivent se référer au cadre juridique susmentionné et à leur contrat avec l'UNOPS pour obtenir les orientations nécessaires.

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